Reconnaissance

1953 - Discours du Congrès de Rome et réponse aux interventions - S'il s'agissait dans celui-là [le mot] du concours de la pure matérialité du langage avec l'effet optimum de l'acte de reconnaissance (....) (....) [la parole, elle] apparaît avec éclat dans le "tu es ma femme" ou le "tu es mon maître" - A quoi se voit de façon exemplaire que la parole n'est en aucun des sujets, mais en le serment qui les fonde -

1953/54 - Les écrits techniques de Freud - 264 - Le grognement du pourceau ne devient une parole que lorsque quelqu'un se pose la question de savoir ce qu'il veut faire croire. - Et que veulent faire croire, en grognant, les compagnons d'Ulysse transformés en pourceaux ? - qu'ils ont encore quelque chose d'humain. - La parole est essentiellement le moyen d'être reconnu. - Sans cette dimension, une communication n'est que quelque chose qui transmet -

1955 - Intervention après l'exposé de J. Favez-Boutonnier... - Que celui [le mot] de reconnaissance lui doive lui être substitué [au terme de "prise de conscience], comment ceci n'est-il pas évident pour tous ceux qui pratiquent une technique, dont le premier principe est qu'elle ne peut être exercée par le sujet isolé, mais toujours avec quelqu'un ? - [analyse]